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Montréal, Salah Eddine Alouani
Le Liban est confus ces jours-ci. Mais il semble plus que d’habitude de l’associer à ce pays qui vit dans la confusion et la confusion. Le Hezbollah s’efforce de faire en sorte que la situation politique continue telle qu’elle était (avant le soulèvement et avant l’explosion, et si possible avant la « Corona », et même avant l’assassinat de Hariri), alors que l’équipe du 14 mars est dans un état extrêmement élevé mais avec anticipation, en particulier son aile « secondaire ».
Activiste au sein du mouvement du 17 octobre. L’axe, qui comprend l’Iran et le Hezbollah, est dans un état de faiblesse et de recul graves, non seulement en raison de la récession économique iranienne, mais aussi en raison de l’exagération de la capacité ou du désir du gouvernement américain d’entreprendre une intervention militaire dans notre pays.
Alors que l’équipe adverse planifie sur la base que le gouvernement américain a pris sa décision, et compte intervenir très prochainement au Liban, surtout si Donald Trump est réélu président pour un second mandat. Mais les partis pro-américains et saoudiens au Liban, tout comme les partis opposés à l’Amérique, confondent l’intimidation et l’intimidation américaines avec la décision d’intervenir militairement. Le jugement sur la décision de l’intervention militaire américaine au Liban fait la distinction, pour une raison quelconque, entre les possibilités d’intervention et les résultats de l’occupation américaine de l’Irak et de l’Afghanistan.
Ils oublient comment l’intervention militaire s’est terminée dans les deux pays, où le gouvernement américain négocie aujourd’hui avec le parti qui est censé être son premier ennemi en Afghanistan, le mouvement «taliban», pour parvenir à une solution, et pour le retour des «talibans» eux-mêmes à la direction de l’Afghanistan (comme il oublie Ceux qui parient sur la nouvelle intervention américaine, comment s’est terminée l’expérience de l’intervention militaire américaine directe au Liban dans les années quatre-vingt du siècle dernier). Et l’avertissement lancé par Robert Gates, le dernier secrétaire à la Défense sous George W. Bush, dans lequel il déclarait que tout président américain qui tenterait de faire la guerre au Moyen-Orient dans le futur aura besoin d’un examen de ses pouvoirs mentaux.
L’ironie est que l’alliance saoudienne dans la région arabe place tous ses espoirs sur Trump, qui est toujours le président contemporain le moins enclin à déclencher des guerres. L’ambition de guerre d’Hillary Clinton était bien plus grande que celle de Trump, et pas seulement en vertu de l’imposition d’attentes patriarcales à une femme occupant une position masculine (selon la Constitution décrivant le «commandant suprême» des forces armées), mais aussi en vertu du fait qu’elle était une représentante de l’empire de guerre, qui est en conflit avec Atout.