Meriem Khalil promeut l’éducation par l’art

7 septembre 2020
Meriem Khalil promeut l’éducation par l’art

Assahafa.com

Invitée de l’émission AdraouiLive lors de l’épisode du dimanche 30 août 2020, Meriem Khalil a eu à parler art, culture et éducation.

Professeur chercheur en sciences de l’éducation et présentatrice à la télévision nationale marocaine de l’émission culturelle hebdomadaire SADA AL IBDAA, Meriem Khalil est enseignante universitaire.

Lors de l’émission présentée par Abderrahmane Adraoui, Meriem Khalil s’est attardée sur sa contribution à l’ouvrage collectif « MAROC, DE QUOI AVONS-NOUS PEUR ? » sous la direction de Najib ABDELHAK et Noureddine BOUSFIHA avec la participation de plus 50 auteurs.

Sous le thème «L’art à l’école, une urgence démocratique », la contribution de Meriem Khalil traite de l’importance de démocratiser l’accès à l’art au sein de l’école marocaine pour participer à l’épanouissement de l’apprenant, développer sa personnalité et préparer un public qui fréquente les établissements culturels.

L’invitée a également parlé de sa participation, en tant que seule jeune marocaine, à la Conférence donnée à l’Université de Montréal, en 2016, dans le cadre du 3ème colloque international en éducation, en collaboration avec le Centre de Recherche Interprofessionnelle sur la Formation et la Profession Enseignante.

Une conférence dans laquelle Meriem Khalil a eu à définir la place accordée à l’éducation artistique dans le système éducatif marocain en se basant, essentiellement, sur une analyse des documents officiels.

Un des objectifs de cette visite était de s’inspirer des expériences réussies à l’étranger pour repenser des éléments du système éducatif marocain. Meriem Khalil se rappelle d’un excellent moment d’échange d’expertise surtout le colloque avait enregistré la participation de plus de 1000 conférenciers, l’invitée étant la représentante du Maroc.

Dans AdraouiLive, Meriem Khalil s’est attardée dans la réflexion sur comment promouvoir la culture marocaine à l’étranger, en donnant l’exemple de DAR AL MAGHRIB à Montréal, en invitant à rompre avec l’image folklorisée de l’art et de la culture et essayer de mettre en place des projets qui interpellent tout citoyen du monde.

Dans son interview, Meriem Khalil note qu’il est nécessaire d’avoir des ressources humaines capables non seulement de gérer mais aussi de s’ouvrir sur le monde de l’art, de faciliter la réalisation des projets artistiques qui répondent aux standards internationaux et de faire de la culture un outil universel de dialogue interculturel.

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